Le Secret des Cathares
Qui étaient les Cathares ? Ce peuple si influent du Moyen-Age, qui a fait trembler l’Eglise au point de déployer les grands moyens pour les chasser. D’où tenaient-ils leurs connaissances ? Quel était le fameux trésor des Cathares ? Pourquoi leur mémoire se réveille t’elle maintenant ?


Connaissez-vous ceux que nous appelons les Cathares ou les Albigeois ? Cette communauté pacifique présente en Europe au Moyen-Age, prônant une spiritualité chrétienne authentique, cataloguée d’hérétique et cible d’une inquisition impitoyable de la part de l’église de l’époque.
Autrefois dénigrés puis oubliés, les Cathares retrouvent depuis quelques années toutes leurs lettres de noblesse.
Peuple trahi, traqué, banni, extorqué, ils ont laissé malgré toutes les folles tentatives de les effacer, une empreinte indélébile dans la trame énergétique de Gaïa.
Leurs accomplissements vont bien au-delà de ce qui est distillé dans les informations connues à leur sujet. Plus qu’un simple courant religieux, ils perpétuaient l’héritage des civilisations anciennes disparues (dont MU et Atlantide) et oeuvraient activement pour le plan d’ascension de cette fin de cycle et l’éclosion d’une conscience d’unité. Mais surtout, ils pratiquaient le culte à la Déesse-Mère et les connaissances qui y sont liées, ce qui n’était pas du tout du goût des courants patriarcaux qui étaient en train de s’imposer de force aux esprits.
S’ils dérangeaient le pouvoir en place, au point de chercher à les détruire jusqu’au dernier, c’est bien parce qu’ils propageaient quelque chose de perçu comme fatal pour la bonne tenue de leur plan de domination.
En effet, les Prêtres et Prêtresses Cathares les plus accomplis connaissaient la Vérité divine, celle qui transcende la matière, et plus encore, ils l’incarnaient.
Pourquoi leur mémoire se réveille t’elle aujourd’hui ? Et pourquoi leur oeuvre a une importance et un impact tout particuliers pour notre époque ?
Les informations que je vous présente ici sont issues des mémoires vivantes que sont les crânes de cristal, qui m’ont aidé à faire émerger les souvenirs de mon âme sur ma vie passée en tant que prêtresse cathare. Ceci facilité par ma présence sur les terres cathares d’où il m’est plus facile de capter les mémoires qui se dégagent de ces lieux.
Qui étaient les Cathares ?
Bien que certaines informations se rejoignent, je ne souhaite pas ici m’étendre sur ce qui est dit d’eux, aussi bien officiellement que par des chercheurs indépendants, une petite recherche Google fera très bien le job si vous souhaitez vous en informer.
Dans cet article, je vais plutôt vous faire part de ce qu’on ne dit pas sur ce peuple, sur ce qui a été volontairement effacé des livres et des mémoires ou caché à l’époque par les prêtres et prêtresses eux-mêmes.
L’origine des cathares
Après la chute de Mu et de l’Atlantide, les survivants se sont installés à différents endroits de la Terre que l’on connait aujourd’hui, pour ensemencer la conscience humaine déchue des savoirs ancestraux en provenance de Gaïa et du cosmos.
Les quelques êtres qui sont à l’origine du mouvement Cathare sont des descendants de la lignée christique des prêtres et prêtresses Lémurien et Atlante.
Il s’agit ici d’une lignée non pas physique, mais vibratoire, d’une dynastie cosmique venue ancrer de très hautes fréquences sur terre.
Durant toute la période de la présence Cathare, ils ont initié et adoubé les pratiquants les plus loyaux à La Source, afin que prospère cette lignée de Sages.
Le mode de vie des cathares
Impulsée par des Maîtres de Sagesse à la conscience cosmique, la société cathare était saine, bâtie sur les fondements des lois universelles (de bienveillance, de respect, de vérité, de recherche d’évolution spirituelle…) tout en étant ancrée dans son époque.
Les cathares se considéraient comme une communauté, une famille de coeur et en esprit, et l’entraide était une valeur partagée par tous. Impossible de trouver chez eux le moindre SDF ou la moindre personne dans le besoin. On pouvait compter les uns sur les autres, ce qui procurait un sentiment de protection et de paix.
Une certaine forme de hiérarchie existait, afin de structurer l’ensemble, mais elle était à l’image de celle de l’Univers : bienveillante, harmonieuse et faite pour protéger et élever chacun vers le haut.
Les prêtres et prêtresses cathares (qui étaient les plus hauts responsables de la communauté) vivaient au coeur de la société, et non dans des châteaux éloignés du peuple comme les dirigeants des sociétés patriarcales.
Il n’y avait donc pas de séparation entre le haut et le bas de l’échelle sociétale, les prêtres et prêtresses vivant au coeur du peuple avaient une compréhension complète de celui-ci, de ses besoins, de ses défis, etc. Les croyants cathares pouvaient donc facilement rentrer en contact avec ceux assurant les responsabilités de la société cathare.
La bourgeoisie qui s’était convertie au catharisme partageaient évidemment le même respect et la même proximité avec ses habitants.
Pour devenir cathare, il était demandé de croire sincèrement aux valeurs spirituelles des enseignements propagés et de pratiquer au quotidien les vertus fondamentales (la bonté, l’honnêteté et la charité entre autres).
Il fallait ainsi renoncer en âme et conscience lors d’un cérémonial à la fois simple mais impactant, à toutes confessions contraires à la Foi cathare, afin de neutraliser tout conflit interne (en soi et avec l’extérieur).
Cependant, vous étiez libre de pratiquer ou non certaines règles plus exigeantes, destinées à ceux désirant s’engager dans la prêtrise.
La matière n’était pas dénigrée comme l’affirment les historiens d’aujourd’hui, mais plutôt remise à sa juste place. Elle n’était pas vue comme une fin en soi mais plutôt comme un moyen d’accomplissement pour l’âme.
Le travail de la terre et de ses matériaux ou encore l’art étaient valorisés.
Chacun était encouragé à cultiver les savoirs-faire dans le ou les domaines d’utilité publique de leur choix et de chercher à atteindre une maîtrise de celui-ci. Ils étaient dans la recherche de l’excellence dans tous les domaines de la vie.
La société cathare aidait chacun à trouver son talent, ses dons offerts par le Très-Haut et offrait les moyens nécessaires à chacun pour en faire son activité.
L’école n’était pas là pour formater et obliger à s’adapter à la société, mais pour révéler la singularité de chacun et l’amener à son épanouissement. Ainsi, c’était plutôt la société qui cherchait à s’adapter aux membres de son clan, créant ainsi une société faite d’équilibre et d’harmonie, où chaque individu était considéré et reconnu à sa juste valeur.
Les Cathares avaient donc un mode de vie très spirituel, simple mais pas pour autant pauvre. La conversion de la bourgeoisie environnante à cette spiritualité cathare offrait à cette société les moyens de prospérer et de vivre confortablement, et non dans l’excès comme chez la royauté et le clergé.
Une expansion rapide
Cette communauté basée sur le respect, l’amour véritable et la bienveillance contrastait tellement avec la rudesse des valeurs prônées par les structures gouvernementales en place qu’un nombre toujours plus croissant de gens embrassait le catharisme.
Il s’est expansé de manière assez fulgurante dans une bonne partie de l’Europe, bien qu’on donne à ces mouvements d’autres noms que le terme de cathare (exemple : les bogomiles de Bulgarie).
Le succès grandissant de ce mouvement chrétien-gnostique a suscité une grande inquiétude de la part de l’Eglise qui y a vu une menace directe pour son projet d’accaparement des esprits. Il leur fallait éteindre le feu de l’esprit qui était en train d’embraser toutes les âmes.
Sans l’inquisition, la spiritualité cathare aurait largement pu se propager dans le monde, ce qui aurait été fatal pour toutes les doctrines oppressives existantes.
La spiritualité Cathare
Quelle était alors cette spiritualité qui a réussie à la fois à convertir les foules et à inquiéter l’Eglise ? Quelles connaissances avaient-ils à leur disposition pour qu’on veuille les faire taire à tout jamais ?
Pour que le peuple adhère en masse et que les élites la rejette avec force, c’est bien que nous avions à faire à des enseignements libérateurs et transcendants.
Ce qui se dit officiellement sur les croyances spirituelles des Cathares est à prendre avec des pincettes, car n’oublions pas que leur histoire a été écrite par ceux qui les ont brûlé.
Le peu d’informations qu’ils ont donné au grand public avait pour but de donner une image faussée et peu avantageuse de ce peuple. Sans parler que ces belligérants n’avaient pas la finesse d’esprit de bien appréhender la philosophie cathare.
Les Cathares avaient bien une vision duelle du monde, en reconnaissant l’existence du bien et constatant la présence du mal. Mais leur vision était plus nuancée que le grossier « la matière c’est le mal » qu’on veut leur attribuer. Ils croyaient en l’existence d’une matière spirituelle façonnant le monde, qui aurait été enseveli par l’esprit impur de l’ange à l’origine du mal. Celui-ci se prendrait pour dieu et dominerait une partie de la terre. Ils rejetaient ainsi l’église la reconnaissant comme le temple du diable.
Ils avaient conscience qu’un combat millénaire entre le bien de Dieu et le mal du diable se jouait sur terre et que nous avions un rôle à y jouer. Le rôle de guérir et transmuter cette matière malade et de la rendre à Dieu.
Pour cela, ils cherchaient à alléger le fardeau de cette matière non spiritualisée afin d’avoir le temps de pratiquer leur Foi. Les devoirs du corps n’étaient pas perçus comme une priorité mais secondaires, à l’inverse des devoirs de l’âme et de l’esprit. Les activités matérielles ne devaient donc pas prendre l’ascendant sur la pratique spirituelle dans l’organisation de la vie quotidienne. Ce qui contraste avec la société que nous connaissons, où nous n’avons pas ou peu le temps de nous concentrer sur notre évolution spirituelle tant le monde matériel nous domine (on doit passer notre temps à travailler pour gagner de l’argent, cuisiner/faire les courses pour manger, s’occuper de la maison, réparer ce qui tombe en panne, etc.).
Ils prônaient la gnose. Ainsi, leur courant spirituel était fondé sur un cheminement initiatique aboutissant sur la connaissance directe de Dieu et de sa Vérité par la révélation intérieure. Les enseignements qui étaient partagés amenaient à vivre des expériences mystiques transformatrices, grâce à une purification poussées des corps physiques et énergétiques. Ils cherchaient à devenir un canal pur pour les forces divines et cosmiques, afin d’ancrer ces énergies sur terre.
Les prêtres et prêtresses ne se considéraient pas comme les intermédiaires uniques entre Dieu et les Hommes, mais comme des guides, des exemples à suivre pour trouver son propre contact intime avec le divin. Ils étaient à ce titre considérés comme des Maîtres-Enseignants très respectés par chacun.
Ils ne croyaient pas pour autant que tout le monde était Dieu, car ils reconnaissaient un Dieu unique, mais ils se reconnaissaient comme enfants de Dieu et héritiers du divin.
Les Cathares accomplis d’hier sont de grands intuitifs aujourd’hui, qui savent accéder aux informations et à la vérité depuis leur intérieur et faire confiance en leur intuition, même si celle-ci va à l’encontre de ce qui se dit dans le monde extérieur.
Ils croyaient en la réincarnation des âmes à travers différents cycles d’apprentissage et d’accomplissement. Ils savaient qu’une seule vie ne suffit pas à la maturation de l’âme et que notre évolution s’inscrit dans un parcours initiatique à l’échelle cosmique.
La diffusion de cette connaissance était particulièrement insupportable pour l’église qui réfute la véracité de la réincarnation, car elle rend logique ce que la religion cherche à cacher : la réincarnation du Christ ou le retour de Dieu dans la chair à chaque cycle.
Pour les Cathares, l’incarnation de Dieu s’est produite à plusieurs moments, et a souvent été source de conflits et de réappropriation. Sa présence sur terre est à la fois vue comme un miracle, un honneur et comme la preuve d’un Dieu d’Amour proche et soucieux de son peuple (et non d’un dieu perché en haut de sa tour d’ivoire comme celui vénéré par l’église). C’est d’ailleurs pour suivre cet exemple que les prêtres et prêtresses cathares vivaient au coeur des cités, au plus proche des gens.
Ils savaient que celui qu’on nomme le Christ n’avait pas l’exclusivité sur la conscience christique, qui est un droit de naissance de chaque enfant de Dieu. Par contre, ils le reconnaissaient, en tant que Dieu incarné, comme le Maître Absolu, le seul être capable d’incarner son plein potentiel divin sur cette terre corrompue, et le seul être capable par sa présence, d’éveiller en chacun sa conscience christique.
C’est uniquement par Lui et par Lui seul que les humains peuvent édifier leur temple intérieur, atteindre l’illumination, accomplir leur ascension. Ils ne croyaient pas cela possible sans sa présence, ni par le recours d’autres guides ou voies initiatiques.
Son enseignement/guidance en présentiel (par la connexion intérieure et par son incarnation directe) était donc perçue comme essentielle pour éviter les manigances de l’ego (pour ne pas appliquer la volonté divine) et autres erreurs d’interprétation.
En effet, quand Dieu est là, seule sa vérité a de la valeur, quoiqu’en disent les opposants.
Cependant, le Christ auquel ils faisaient référence n’était pas le même que celui de l’Eglise.
Pour eux, le Christ pouvait aussi bien s’incarner en homme qu’en femme, selon les besoins du cycle en question, car la conscience christique n’est pas la propriété d’un genre sur un autre.
Le féminin n’était donc pas perçue chez eux comme la pécheresse, bien au contraire. Elle était l’initiatrice, la Mère qui donne vie et nourrit la conscience christique.
Les Cathares reconnaissaient donc le rôle fondamental de la Déesse-Mère dans la création du vivant. Elle était ainsi honorée et au coeur de leur pratique.
Ils donnaient de ce fait un rôle et une attention particulière aux femmes, qui avaient les mêmes droits que les hommes. Leurs voix et conseils étaient écoutés et pris au sérieux dans les prises de décisions. Elles présidaient à la destinée de la société.
Leur lien à la nature était très fort, qu’ils considéraient comme le Temple de la Déesse. Ils faisaient en sorte que leurs constructions soient en symbiose avec la nature, qu’elles en soient le prolongement.
Les Cathares étaient en quête d’Unité avec la création de Dieu/Déesse-Mère.
Ils avaient une profonde compréhension des lois cosmiques et des lois de la nature. Ils comprenaient l’énergie et savaient la manier.
On comptait parmi eux des Mages-Alchimistes d’un haut niveau spirituel. Là où l’Eglise brûlait les sorcières et associait la magie au diable, les prêtres et prêtresses cathares comprenaient que la Magie n’est rien de plus que la maîtrise et l’utilisation de l’énergie de vie pour créer la matière.
L’Eglise était et est toujours hypocrite à ce sujet, pratiquant elle-même des rituels de magie inversée. Elle voyait d’un très mauvais oeil le fait que les Cathares propageaient cette connaissance au peuple alors qu’elle voulait la garder secrète.
Il s’agit en effet d’une connaissance majeure et essentielle pour ne plus être manipulable et retrouver sa liberté.
On peut se demander alors :
Pourquoi et comment les cathares ont pu être exterminés malgré toutes leurs connaissances ?
Déjà il faut bien comprendre que j’utilise le terme générique de cathare, mais que ça ne veut pas dire que la totalité de la population était en maîtrise spirituelle.
Seuls les prêtres et prêtresses (ceux qu’on nomme les Parfaits), avaient atteints des hauts niveaux de conscience avec une bonne maîtrise de leur Esprit. Mais là encore, tous n'avaient pas affinés leur Esprit et leur énergie au même niveau.
Les simples croyants avaient de belles valeurs de coeur et un bel état d’esprit, mais n’avaient pas poussés le chemin initiatique très loin. Car ils n’étaient tout simplement pas prêts pour cela.
Qui plus est, avec l’humilité qui les caractérisait, les prêtres-prêtresses ne se considéraient pas au niveau du Maître Absolu qu’est le Christ.
Ils se savaient en apprentissage, et avaient bien conscience devoir mener une guerre avec le mal, qui lui était dans sa phase croissante.
Ils leur manquait une énergie particulière à déployer : celle du guerrier. Les Cathares étaient des pacifistes, devant faire appel à des chevaliers hors de leur communauté pour se défendre. Notamment des chevaliers templiers. Mais lors des croisades puis de l’inquisition, un certain nombre d’entre eux ont trahi la cause cathare et ont aidé l’Eglise dans ce génocide.
Ils ont donc consenti à se laisser combattre, afin de laisser cette expérience s’alchimiser en leur âme afin de revenir plus fort la vie prochaine. Ils ont accepté de perdre cette bataille pour pouvoir gagner la guerre, ou plutôt la paix.
En effet, les Cathares comprenant les lois de réincarnation, avaient une vision globale de leur mission, une vision à long terme sur plusieurs vies. Ils savaient, comme tous les peuples ancestraux reliés au Cosmos et à la Mère-Terre, que l’expérience des âmes se terminerait lors de la fin du grand cycle, avec la victoire du bien sur le mal.
Ils savaient que leur époque n’était pas celle du grand final, que les âmes n’étaient pas prêtes pour l’ascension. Ils devaient déposer des graines pour que l’arbre soit mûr à temps.
D’où la prophétie cathare de Guilhem BELIBASTE qui fut le dernier Cathare officiellement brûlé sur un bûcher de l’Inquisition : « Au cap des 700 ans, le laurier reverdira ».
Soit maintenant.
Le secret des Cathares
D’où puisaient-ils tous ces savoirs qui étaient cachés par les pouvoirs en place ?
Les Cathares ne s’appuyaient pas sur la bible. Ils rejetaient l’ancien testament et ne concédaient que quelques vérités au nouveau.
L’essentiel de leur croyance se fondait sur de très anciens manuscrits atlantes et lémuriens notamment, qui ont pu être protégé et qui ont traversé les âges.
Des livres sacrés écrits pour la plupart par la Déesse-Mère elle-même lors de ces différents passages en incarnation.
Avec la bible, personne ne s’étonne de devoir suivre des écrits qui ne sont que des témoignages de l’entourage du Christ, et non sa parole directe. Entre le téléphone arabe et les mauvaises compréhensions de ce qu’ils ont observé et entendu, les distorsions sont grandes.
Les Cathares ne donnaient leur dévotion qu’à Christ elle-lui même. Ils ne suivaient donc à la lettre que les enseignements de Dieu la Déesse-Mère, qui ont été consigné de sa main sur des manuscrits cachés en Agartha lors des chutes de ces anciennes civilisations et prêtés seulement à des êtres de confiance.
Les prêtres et prêtresses consacrés avaient donc des contacts réguliers avec les êtres d’autres dimensions, avec qui ils travaillaient en harmonie pour l’accomplissement du dessein divin. Et notamment des contacts privilégiés avec les Agarthiens, qu’ils pouvaient rencontrer grâce à des accès secrets qu’ils avaient ouverts, dans des grottes ou sous certains de leurs châteaux-temples.
Certains de ces prêtres-prêtresses avaient aussi avec eux des crânes de cristal issus de civilisations anciennes, passés là encore par les êtres des autres plans.
Mais le plus grand de leurs secrets concerne ce qu’on nomme aujourd’hui le trésor des cathares.
Ce peuple est le dernier à avoir été les Gardiens du Graal.
Le Graal est l’héritage de la lignée des Sages. C’est à la fois la coupe et son contenu.
Le Graal est en fait la Déesse-Mère et tout ce qui découle d’elle (à savoir son état d’être et de conscience, son énergie, ses enseignements et son corps de manifestation).
On pourrait aussi le définir comme l’idéal à atteindre.
Il était une information sensible que seuls certains prêtres et prêtresses initiés savaient, la présence de la Déesse-Mère incarnée à leurs côtés en tant que Grande Prêtresse. Bien que son identité réelle n’est pas été révélée au grand jour, son aura particulière ne laissait pas indifférent et suggérait la présence d’une grande âme. Dans l’histoire des Cathares, elle est connue sous le nom d’Esclarmonde, à savoir Celle qui éclaire le monde. Il s’agit en fait de Marie-Madeleine sous d’autres traits.
Voilà pourquoi sur les terres cathares du sud de la France, la présence de Marie-Madeleine est si palpable. Elle n’est pas morte comme on tente de nous le faire croire, mais a ascensionné à la fin de son parcours initiatique, se jouant ainsi de l’espace et du temps.
Parmi les artefacts associés au Graal qu’avaient les Cathares, il y avait le fameux 13ème crâne de cristal (dont la Déesse-Mère est la gardienne, puisqu’il incarne sa conscience omnisciente) et un Livre codé avec la langue des oiseaux, comportant des enseignements clés et des prophéties pour aujourd’hui, écrit par Esclarmonde.
À l’issu du siège de Montségur, tout ce qui constituait le Graal a été remis à des êtres d’autres dimensions pour être caché à Agartha.
Leur empreinte aujourd’hui
Les initiés Cathares, qui étaient à la fois Mages et Alchimistes, ont oeuvré pour la réalisation du plan divin de l’Ascension qui se joue à notre époque.
Ils ont travaillé au niveau des réseaux énergétiques humains et de la terre afin de permettre à ce que certains types d’énergies et de structures éthériques s’activent aujourd’hui.
Ils ont aussi participé à la transmutation du mal, ouvert des chemins vers la transcendance, que nous pouvons maintenant emprunter.
Le bûcher de Montségur fut un moment charnière dans cette bataille spirituelle, et même si les apparences suggèrent une victoire des forces du mal, les Cathares ont su avec leur intelligence transcender cette expérience de souffrance en acte de libération du mal.
Des prêtres consacrés ont accompagnés des croyants au bûché pour les guider dans le passage vers la lumière et participer à un grand processus alchimique de transmutation du mal pour tous.
Ils étaient tous dans un état expansé de conscience, la matière n’ayant plus de prise sur eux. C’est pour cela qu’ils se sont jetés au feu en chantant joyeusement. Cet acte était tout sauf anodin.
Enfin, ils savaient que le Christ allait s’incarner une dernière fois à la fin des temps, pour clôturer le Grand Cycle. Ils ont donc oeuvré pour préparer le retour de Dieu/Déesse-Mère, qui cette fois-ci s’incarnera en totalité. C’est d’ailleurs ce que devrait faire l’église, au lieu de ça ils cherchent à saboter ce retour.
Les Cathares étaient finalement bien des hérétiques, mais cette hérésie était saine et juste puisqu’ils allaient à contre-courant d’un dogme religieux mensonger, manipulateur et dangereux.
Leur Foi leur a donné une force et un courage à toutes épreuves, car seulement une infime minorité a abjuré, malgré la peur et la torture.
Les Cathares avaient ouvert leur coeur à la vérité, et de par leur connexion à leur âme, la matière n’avait que peu d’emprise sur eux.
Ils ont accompli des oeuvres que peu comprennent aujourd’hui, elles jouent pourtant un rôle primordial dans l’évolution de la conscience humaine et le retour de la vérité divine sur terre.
Les Cathares faisaient peur, car ils savaient…
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